Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

marie intime

Samedi 5 avril 6 05 /04 /Avr 20:53

si j'étais une ville : je pense que je serais Prague.. pour son romantisme, l'Art...sous toutes ses formes...sa philosophie
si j'étais un mets ; il serait sucré... la tarte aux pommes
si j'étais un objet : une plume... caressante... pour effleurer la peau et caresser le papier
si j'étais un tableau : une aquarelle de Turner - " l' Ange, debout dans le Soleil "
si j'étais une personnalité : marie-antoinette... aussi vertueuse que vicieuse peut-être... et quel courage aussi !
si j'étais un livre : " Belle du seigneur"  de Albert Cohen
si j'étais un film : je choisis " le cercle des poètes disparus "...
si j'étais un vice : au contraire, je serais la vertu ... le deux facettes d'une même personne -sourire
si j'étais un animal : je serais un oiseau...peut-être même un aigle.
si j'étais une destination de vacances : un pays du Nord...l' Irlande....et ses légendes...
si j'étais un instrument de musique : je serais le violon
si j'étais une saison : je serais le printemps, à son début... lorsque tout renaît... se dresse... verdit...
si j'étais un bruit : je serais celui du vent sur les vagues.
si j'étais un fruit : je pourrais être la framboise... en tous cas un fruit rouge...
si j'étais un supplice : une goutte d'eau glacée sur mon corps chaud
si j'étais un loisir : il serait l'écriture
si j'étais une activité : elle serait celle de construire, de bâtir
si j'étais un vêtement : je serais un carré en soie
si j'étais une heure : je serais l'aube ...6 heures -seul moment de la journée où l'on peut affirmer que les oiseaux chantent aussi à Paris...
si j'étais une caresse : elle serait celle du vent suivie de la caresse bucale d'un homme sur ma nuque
si j'étais un métier : je serais écrivain
si j'étais une épice : je serais le safran
si j'étais une poésie : " Mignonne, allons voir si la rose", en hommage à mon père.
si j'étais un prénom : le mien
si j'étais une boisson : un thé au jasmin
si j'étais une fleur : je serais le coquelicot et il épouserait le bleuet
si j'étais un parfum : il serait celui de l'herbe fraîchement coupée
si j'étais un regret : je n'en ai plus
si j'étais un pouvoir magique : celui de pouvoir être invisible
si j'étais une partie du corps : je serais les yeux
si j'étais un mois de l'année, celui de Marie... le mois de mai
si j'étais une"devise" : qui va piano va sano
si j'étais un jour de la semaine : il serait le vendredi, le jour de vénus
si j'étais un défaut : l' entêtement
si j'étais une qualité : la persérérance ou la constance
si j'étais une passion : l'amour
si j'étais un des quatre éléments : je pourrais être la terre
si j'étais un souvenir : il aurait le visage d'un garçon qui a fait battre pour la première fois mon coeur un peu plus fort un jour...
si j'étais une chanson : une de Jacques Brel " Quand on n'a que l'amour "
si j'étais un sentiment, il serait la tendresse
si j'étais une couleur : je pourrais être toutes les couleurs
si vous étiez moi ... être avec vous
si j'étais vous  : être avec moi

Par marie - Publié dans : marie intime
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 29 mars 6 29 /03 /Mars 16:37



Je n'ai rien à cacher ni rien à montrer, rien d'autre à montrer que moi-même, rien d'autre à dire que moi-même.
Je n'ai rien à dire, rien à attendre.
Et puisque le tout est là, je n'ai pas envie de me contenter de penser une possible relation avec un homme.
J'ai envie du rien et surtout du tout avec cet homme...
Envie d'apprendre à regarder, à voir, à tendre la main, à ouvrir le coeur, à caresser l'âme, à m'abandonner en silence et en paix, à vivre la simplicité de cette relation, cet à-venir, un autre devenir.
Quelques belles expériences vécues m'ont aidé à préciser le sens de ma quête.
Et mon présent, ici et maintenant, est ce que vous m'offrirez peut-être...si nous nous rencontrons.
Et si ma solitude (en ce sens de présence à soi) épouse votre solitude, dans nos désirs et nos espérances, nos deux solitudes pourraient alors peut-être se protéger, se compléter, s'incliner l'une devant l'autre, et enfin, grandir ensemble.
Vous serez peut-être cet autre que j'attends.

Il n'y a pas de question, c'est pourquoi ma réponse est oui. Absolument.

Marie (le 29 mars 2008)

Par marie - Publié dans : marie intime
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Samedi 22 mars 6 22 /03 /Mars 15:42

 J'ai placé le vase rempli de roses jaunes sur le sol, devant la baie vitrée, pour donner à boire à la lumière.

                                           ..... La lumière fut et les roses s'en allèrent.

Marie.

Par marie - Publié dans : marie intime
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 16 mars 7 16 /03 /Mars 17:10

 Je viens de me souvenir de ce texte que j'ai écrit en novembre dernier .... je l'avais perdu de mémoire et, plus navrant aussi dans mes archives ; mon portable étant tombé en panne..
Je suis ravie de le réécrire ce soir... parce que je le trouve beau, parce qu'il renvoit à Dante, parce qu'il me ressemble aussi...

Le Paradis ne sera pas mon nid... mais je m'efforce de sortir de mes Enfers... sourire.
Marie.



Au milieu du chemin de ma vie...

Dans vos Enfers, mon Paradis,
Ma multitude, vos égarements
Votre talent, mes paradoxes
Mes perversions, vos châtiments
Vos vices, mes petites vertus
vos diables et mes tourments
En transparence, en résonance
Comme en écho dans mon miroir
Un double-je, ce double-nous, ce si doux leurre
Je suis  la " Prisonnière Libre "
Femme et femelle dans le même temps
Divine rebelle et insoumise
Inpudique offerte
Supplique ouverte

A vos désirs à  vos fantasmes
Votre plaisir et mes péchés
Votre âme noire, et mes délices
Votre coeur tendre et  nos étoiles


Libre, sans vous, de faire ce qu'il me plait
et avec qui mon coeur le souhaite
de prendre et de donner, de donner et de subir
de me soumettre  me retenir ou asservir
D'aimer d'amour, d'aimer d'ami, d'aimer tout court
dans mes envies mes fantaisies mes états d'âme
sans rien mentir, sans rien trahir ni abîmer
Mon Purgatoire


Prisonnière de vous, en votre sévère présence
Totalement  volontairement, regard baissé
Je suis la même, la seule et vôtre,  unique modèle
Nue sans pudeur, une sainte sans masque sans auréole et assumée
Femme avant tout mais toute donnée, abandonnée, châtiée et chavirée
Pour le plus beau pour inventer notre jardin
A votre merci et sans façons
Notre Paradis.

Marie le 2 novembre 07.

Par marie - Publié dans : marie intime
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Lundi 10 mars 1 10 /03 /Mars 20:58

undefined


Chambre avec vue...
Vous m'intimez l'ordre de me mettre nue, dans la position que vous préférez.
Je me sens confuse mais me tais et baisse les yeux. Sentiment de honte à votre endroit.
Ce sentiment s'évanouit vite pour laisser la place à un autre sentiment : celui de satisfaction...
Dans ma chambre...
Vous apprenez que mon appartement dispose de larges baies vitrées.
Vous me demandez de me mettre debout face à cette baie, nue, jambes écartées. Même s'il n'existe pas de vis à vis (les immeubles en face sont à distance respectable)... il est une certitude.. je peux néamoins être vue. Et cette seule idée a le don de m'exciter davantage... Imaginer que... C'est en cela que j'aime l'exhibition...quelque chose comme cela dans cette forme " d'imaginer que..." c'est plus fin, plus subtil. Montrer pour être vue m'intéresse moins...

Je suis donc excitée...Le désir monte. Je mouille. Un ensemble de caresses accompagné de votre voix charmante, sensuelle sur mon intimité favorise cette montée du désir.
Comme un double en miroir... Je renvoie l'image d'une femme sensuelle, charnelle, désirable, sexuelle... Je pose... C'est une invitation sans ambiguités à qui pourrait me voir ou me surprendre.Femme et femelle...chienne...nue... provocante... seins demandant à être maltraités, .sexe épilé, trempé de mouille, clitoris bandant...
Je suis toute à vous, rien que pour vous...Je ne suis qu'offrande, une et entière, la vôtre, pour votre plaisir, le nôtre, le mien...C'est si bon... Et mon reflet dans la vitre est celui du désir... Objet de désirs je suis... pour vous... juste pour vous, moi que vous dites être votre précieuse.. votre douce... votre louve... votre intime...votre mie..Et puis je vous entends soudain me parler de godes... Et vous me demandez de vous relater un fantasme spontanément...Je ne sais pas vous dire comme cela...
Je dois mentaliser et réfléchir...penser pour mettre en mots...Vous vous montrez impatient.... et moi, je me sens in-com-prise.... et non-prise.
Votre voix devient plus sèche ; je vous fais attendre... Vous n'appréciez pas... cela me destabilise...Emoi... Je me resaisis, tente de vous dire... Vous ne voulez pas savoir excepté mon fantasme...Alors je vous révèle celui qui m'émeut ..... être prise par un Homme par mon orifice vaginal et par une femme avec un gode ceinture de façon anale...Et cela m'excite de vous faire cet aveu de cette manière....
Et d'entendre votre voix sévère, forte, exigeante...qui me demande si baiser avec une femme me plairait... Je réfléchis.. non, je n'en ai pas envie. Dans mes rêves cela est source de jouissance, de grande jouissance... Dans la réalité ? je ne sais...Etre caressée par une femme est certes fabuleux... mais être pénétrée...
Vous m'évoquez alors la notion de punition - récompense ; une punition pouvant être celle d'être prise par une femme...
Aujourd'hui... cela pourrait m' être une récompense ! Paradoxe... La punition et la récompense ne seraient-elles que les deux faces du même médaillon, une question de circonstances...
Jusqu'à ce jour, vous me dites n'avoir vécu que des récompenses (c'est vrai...). Elles furent belles et source de beaucoup de bonheurs...
Jouissances sexuelles...orgasmes ...plaisirs intenses et prolongés...

Et puis ce soir,après être restée longtemps debout face à la vitre et vous en miroir... devant... et pour de vrai derrière moi...vous avez su me faire vôtre... en me possédant brutalement, avidement, fortement....Avec la succession de deux orgasmes : à genou sur une chaise, offerte, donnée, abandonnée. Vous m'avez comblé et je suis restée béate et dans un état de grande plénitude... Il est vrai que vous m'avez fait une très grande faveur : me prendre par tous mes orifices, alternativement les uns après les autres...Offrir, donner, subir, gémir, crier, jouir...Et dans un dernier élan d'amour...la suprême récompense... la plus belle reconnaissance : le baiser... Vos baisers me sont des cadeaux.... J'aime les baisers.... tous les baisers... les vôtres ....Et vous m'embrassez si bien.

Encore ?

Marie (un jour... avec vous- )

Par marie - Publié dans : marie intime
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Dimanche 9 mars 7 09 /03 /Mars 11:21

Ce soir, nous sommes, vous et moi dans le petit salon. Vous vous trouvez près du fauteuil rose... d'abord face à moi, puis contre moi, enfin derrière moi.
J'aime vos mains sur mon corps, vos mains sur mes hanches, vos mains enserrant ma taille, vos mains effleurant ma peau, titillant mes seins...
J'aime votre bouche mordillant la fine peau à la naissance de mon cou, vos lèvres aspirant mes tétons et les faisant surgir...
J'aime votre peau contre, tout contre ma peau. Votre peau et ma peau vont si bien ensemble. Elles s'attirent et se conjuguent.
Oui j'aime votre peau, que je sais caresser, que je ne cesse d'embrasser.
J'aime votre sexe, pénétrant mon sexe. Assise sur le rebord d'une table, vous me prenez debout, vainqueur, mâle et fier.
Votre sexe en moi, dans un lent  va et vient.... vous entrant en moi, allant et venant, délicatement puis plus rapidement, plus profondément. Vous accélérez la cadence et j'aime ce rythme. Et je gémis de plaisir. Encore et encore... Plus vite, plus fort...
Je vous exprime mon plaisir... Ma chatte est trempée... Je passe deux doigts que vous me demandez ensuite de lécher...Plus vite ou plus lentement, nous jouons la même musique. Je danse aux pas de votre queue en moi...pour jouir dans un même élan, ensemble... vos cris dans mes soupirs, mes cris dans vos soupirs.
Et vous m'innondez comme j'aime et je sens votre liqueur chaude tapisser les parois de mon vagin. D'autres fois, vous vous libérez dans ma bouche qui recueille goulûment votre liquide... suave et doux.
J'aime me savoir vous appartenir de cette si belle manière. J'aime que vous me possédiez de la sorte.
Il arrive également que vous preniez la position de l'observateur et que vous me demandiez de me caresser devant vous jusqu'à la jouissance. Mes yeux pétillent de joie ; ils pétillent alors de vous.
Lorsque j'ai réussi à vous exprimer ma jouissance, vous me récompensez en me prenant par derrière... Et je vous offre alos mon cul.... cambrée, ouverte, offerte... le comble du plaisir.
Vous m'attirez alors fermement à vous et faites claquer votre main droite sur ma fesse droite. Je gémis alors de désir tout en rougissant.
J'aime être fessée. Et, dans un second mouvement, me maintenant les hanches, votre queue en place, vous commencez  votre ballet de toute la vigueur de votre virilité. Une autre fois, vous utilisez un accessoire.... Cela est pur bonheur ; j'aime cette position d'offrande... de soumission....Cela m'excite . Cette attitude est pour moi la plus belle ; elle caractérise pleinement la femme, femelle, animale, donnée à l'homme qui peut ainsi en user, en abuser. Tous orifices à pénétrer, à remplir....
Dans cette posture, je mouille et je viens intensément....  Divines jouissances...
Comme il est bon de vous savoir là, près de moi, sur moi, en moi.... Comme ils sont doux ces instants volés au temps.... juste vous et moi... Pas même dominant, pas même soumis, ni même polyvalent... juste un homme
Et moi, ni soumise, ni maîtresse-femme, ni-ni, juste une femme à sa place...
Juste vous, juste moi..... Juste un homme et une femme.... Des envies, des désirs, des fantasmes....
Du plaisir...
Comme j'ai envie de vous.

Marie - mars08

Par marie - Publié dans : marie intime
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 1 mars 6 01 /03 /Mars 19:23

Je vous ai attendu comme une idiote, comme une jeune fille, comme une femme amoureuse, ici ou là, au chaud ou dans le froid, dans le hall d'une gare à l'abri des regards...sur un coin de trottoir...assise à une terrasse...
Oui je sais l'attente comme un mélange d'excitation et d'inquiétude, d'hésitation et d'anxiété.
Je ne sais pas bien l'attente " heureuse "  ou plus joyeuse,  celle qui fait les yeux brillants, la bouche en coeur, les pas certains...
Comme un entre deux temps, pas encore maintenant mais plus tout à fait tout à l'heure...
Et puis à force d'attendre... vous êtes venu...
Et puis à force de patience... vous êtes resté.
Alors ces mots, qui savent  dire ou bien médire, tantôt amis, tantôt ennemis, je vous les offre comme des voeux de rapprochement...
Parce que les mots unissent ou éloignent... Parce que les mots réparent  ou bien brisent...
Ces mots que j'écris sont désormais pour un seul homme, vous, l'homme que j'ai choisi.
Je vous embrasse,
Marie.

Par marie - Publié dans : marie intime
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Samedi 1 mars 6 01 /03 /Mars 07:23

J'ai écrit ce texte il y a quelque temps... et je choisis de le publier à nouveau... parce que je le trouve être le reflet d'une certaine  "réalité "...


Chaque femme peut-être l'un d'entre elles ... et s'il ne peut exister de maîtresse sans épouse, en revanche muses et putains existent par elles-mêmes.
Epouse, amante, muse ou putain peuvent être de nature inclinée ou dominante voire alternée....
ELles n'en demeurent pas moins femmes essentiellement...

L'épouse (ou la femme légitimée)... la Respectable... celle que l'homme vénère et qu'il lui arrive d'aimer d'amour. Cette épousée à qui il demande de posséder toutes les grandes vertus...
Celle-là même dont le caractère oscille entre la matrone autoritaire, geolière qui empêche  son mari de s'enfuir et la candide un peu sotte et soumise envers un mari jaloux et dominateur.
Celle qu'il ne désire pas (plus), la mère de ses enfants, et donc celle qu'il ne peut que tromper....
Cette femme qui devient sa mère. La maîtresse ( ou la femme illégitime).... que l'homme cherche et qu'il désire... Et autant il la désire, autant il ne la respecte pas. Cependant il peut tomber amoureux d'elle et l'aimer d'amour.

La muse  (ou la femme divinisée), celle que l'homme ne saura jamais posséder tant elle échappe.. parce qu'inaccessible... Une femme telle une offrande et source de tant d'inspiration.

Enfin la putain (ou la femme publique)qui enivre de volupté et libère les sens, que l'homme parvient à "  posséder " mais qui ne s'offre que pour de l'argent...

Et puis celle .... qui n'existe que dans l'imaginaire masculin... la Femme fatale...celle qui charme  le coeur des hommes, qui les envoûte, qui les attire, les fait tombre,  prendre tous les risques et courir tous les dangers.
Cette femme tentatrice, incapable de résister... autant corrompue que corruptrice, fascinante, qui subjugue et ensorcèle, qui invite à la rêverie et à l'amour.
Cette femme insaisisable, aimée précisément parce que fuyante, mystérieuse et inconnue, qui ne peut être aimble que parce qu'elle se dérobe...

Chaque femme est une femme qui est aussi l'une de celles qui précède...
Mais toutes les femmes sont complexes, tour à tour douces ou cruelles, sensuelles ou froides, sensibles ou sans coeur, idiotes ou manipulatrices, aimables et détestables, possessives et infidèles, soumise et castratrices...vivantes et si libres...

Je suis une femme et je suis aussi l'une d'entres elle...
Et depuis le péché originel, nous n'avons rien inventé de nouveau... Adam et Eve sont nos premiers modèles.

Marie (10NOV07)

Par marie - Publié dans : marie intime
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 29 février 5 29 /02 /Fév 20:46

Je vous attends assise dans un fauteuil du lounge bar d'un hôtel, dans une alcôve un peu à l'écart et un peu sombre, où seule la lumière artificielle d'une lampe d'ambiance  taquine le soyeux de mes bas à hauteur de genou ; ma jupe courte relevée dévoilant le haut de mes cuisses au niveau de la jarretelle.
Je me sens terriblement catin, et  personne ne peut imaginer ce qui motive ma présence en ces lieux bien peu propices aux épanchements fripons et autres idées dissolues.
Alors que je verse dans la tasse en porcelaine blanche  au liseré bleu le thé à la bergamote infusé, mon téléphone mobile me met à vibrer. N'ayant rien anticipé, je m'active fébrilement pour récupérer l' appareil resté dans le fond de mon sac à main. Me saisissant du téléphone à  la dernière  vibration, je lis un message m'avertissant de votre arrivée imminente. Sitvôt le message effacé, vous apparaissez devant moi dans toute votre superbe ; un enchantement. Debout stoïque, puissant, beau, vous éclairez subitement la petite alcôve, mon refuge. Je me sens fière d'être à vous... Vous ne dites rien et je me tais. Seuls mes yeux vous disent combien je vous aime ainsi...
Combien j'ai envie aussi. Nous nous regardons... force de deux regards qui se devinent si bien.
Je me lève enfin, probablement un peu maladroite, émue certainement et me rapproche de vous, bras le long du corps, disponible, ouverte. Vous déposez un baiser sur mon front et venez d'une caresse appuyée poser votre main droite sur ma fesse gauche. Je suis alors parcourue d'un frisson de plaisir, la bouche entrouverte et les yeux plein de désir. J'ai instamment envie de vous... Un désir, comme une fulgurance de me coller à vous.  Et vous supplier de me toucher, de m'embrasser, de me tripoter..
Vous le savez n'est-ce pas et vous souriez....  chatte Marie....
Je suis là juste pour vous, juste pour nous...
Aucun mot... deux êtres ayant envie de la même chose, recherchant le plaisir...
Je me saisis alors rapidement de mon sac à main et dans un même élan , nous nous dirigeons vers le dressing où j'ai laissé mon manteau à l'arrivée.
L'ascenseur appelé arrive. Troisième étage, chambre 314... la vôtre...
La soirée est à nous... bandée, attachée, fessée, baisée, caressée, embrassée, câlinée....aimée...
Cette nuit-là appartient à notre intimité..Simplement plus tard, bien plus tard, nous sortons... apaisés et sereins... amoureux, tous les deux...
Vous me déposez tôt au petit matin devant chez moi...
Un nouveau jour commence...

Marie
novembre 2007.

Par marie - Publié dans : marie intime
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 28 février 4 28 /02 /Fév 07:34

 
Une envie....
Je suis allongée sur le ventre en train de lire et vous venez me rejoindre. Vous vous  collez contre moi, votre sexe bien dur et bien fier contre mon flanc. Vous en profitez pour glisser  une main sous moi pour atteindre  ma chatte. Puis vous montez sur moi, en me  murmurant des petits mots crus et très coquins à l’oreille,  et en faisant glisser votre queue entre mes fesses. Je ne parviens pas à suivre le fil de ma lecture ; je ne peux me concentrer  mais joue et feins  de ne pas  vous  montrer que je suis très excitée.
Vous vous retirez  un peu de moi pour mieux écarter  mes fesses avec vos deux mains. Et vous installez le bout de votre queue que j'aime, toute humide de désir contre mon petit trou. Je me tends de désir et vous offre alors ma  croupe tout en minaudant et en feignant  de ne pas vous montrer que je souhaite ardemment recevoir votre queue dans mes reins. Mais mes  fesses me trahissent et sont animées de tremblements. Et je commence à bouger frénétiquement mon cul  de façon à ce que votre gland appuie bien sur mon trou.
Vous comprenez vite  mon petit jeu et vous allez progressivement, entrant et ressortant juste le bout de votre queue, en me  laissant avec un vide d'une excitante frustration. Vous allez ensuite mouiller  votre queue à la liqueur qui suinte de mon sexe et vous vous  installez en moi en me sussurant à l’oreille que je vais vous  sentir entrer en moi  "jusqu'au fond de mon âme".
Vous prenez alors  mes fesses dans vos mains, en me  maintenant fermement pour imprimer votre rythme et vous vous enfoncez d'un seul coup jusqu’à la garde.
C'est alors que j'éclate de rire car dans le même temps si divin, mes yeux  se portent sur le texte de ma lecture et sur cette phrase :  "le train entre en gare".
Vous voulez alors savoir ce que je lis et vous me dites que si je continue à rire de cette façon,  vous ne pourrez pas vous retenir  longtemps. Redevenue sérieuse et surtout attentive à ce que vous me faites je vous dis que je veux pour vous sentir et accroître mon désir, que vous continuiez à faire coulisser votre queue dans mon cul pour  me faire profiter de cette sodomie si délicieusement improvisée à fond. Ayant compris et très excité, vous commencez à accélérer le rythme, entrant et sortant votre queue de mon anus,.... mon cul en feu qui n’attend que de jouir de vous et par vous.
Dans un élan soudain et vous cambrant, vous jouissez   violemment en poussant un long cri, ce qui  déclenche à son tour un puissant  orgasme chez moi. Vous lâchez alors tout  au fond de mon anus, en vous répandant en longues giclées de sperme.
Cela a  pour conséquence immédiate de me faire crisper les  fesses et mon sphincter se contracte  et prolonge d'autant ma jouissance...
Une envie ...
Marie(2007)
Par marie - Publié dans : marie intime
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus