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Mardi 15 janvier 2 15 /01 /Jan 18:15
" J'écris pour que le jour où je ne serai plus
  On sache comme l'air et le plaisir m'ont plu."  
  - Anna de Noailles-
Par marie - Publié dans : en pensées
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Commentaires

Elle naviguait sur Bagatelle et ses voiles étaient faites de la toile! Devant la frêle embarcation depuis laquelle il l'avait vu croiser pour la première fois au large de son île, Il n'avait su que lui offrir spontanément sa tendresse . Tant de candeur apparente, de fragilité embarquée sur cette coquille de noix, l'avaient interloquées et il était demeuré , tel un vieux loup de mer, bouche bée face à la marée, sans qu'aucun projet la concernant ne lui effleure l'esprit . Simplement il lui avait lancé depuis le rivage un laconique: " Bon Vent." afin qu'elle se sauve et ne devienne la captive d'un oiseleur à l'extravaguant besoin d'aimer. Pourtant à sa supplique de hisser toutes voiles dehors elle était demeurée sourde. Bagatelle , son rafiot , clapotait toujours dans la houle et depuis son rivage Il aimait distinguer vaguement sa silhouette à la chevelure au vent , qui les mains en porte voix semblait hurler au vent ..son besoin de femme.. quelques mots inaudibles qu'emportaient le vent. Si seulement elle avait accepté sa tendresse , c'eût été une porte demeurée entrouverte.Il connaissait la nature féminine... Mais depuis le rivage il n'avait rien entendu de semblable. Déjà la dérive du temps distendait le jour. Le ressac comptait les heures tandis que L'ouie, l'odorat , le toucher en alerte il lisait le vent à la recherche d'une émotion, d'un parfum, d'une fragrance qui lui aurait été empruntée .. à l'écoute aussi, à la reconnaissance d'un bruit comme celui du cliquetis sourd d'une chaîne qu'entrainerait un ancre jeté là!!! C'est cela qui faisait bouillir son esprit et allumait ses sens, tandis que la nuit comme un rideau lourd finissait de tomber. Et il s'était surpris à sourire de seulement imaginer que Bagatelle puisse encore mouiller là demain.
commentaire n° :1 posté par : MOR'AN (qui vient de la mer) le: 15/01/2008 à 22h14
En ses murs épais, la nuit consigna toutes choses longtemps et il lui sembla soudain que bagatelle n’avait jamais existée; qu'elle n’était qu’un verbe dans son imagination comme le monde le fut ,dans l'esprit du grand architecte à son commencement. En ce sens , Elle était qu‘une esquisse? C'est à dire: RIEN …que la main ne puisse caresser mais seulement cet espoir... Comme il enviait son état de ne point être ! ou qu’une idée vagabonde, qu’une simple ébauche demeurée en suspens dans le coeur d'un projet. Sur la crête de l’instantanéité, Il lui semblait surfer en pleine vacuité , comme juste avant que la vie ne l’interpelle , ne l’éveille en sursaut, juste avant que son Âme s’immisce en son corps et n’estompe avec perversité sa connaissance innée du grand Tout. Toujours , il se l’était dit , cent fois , qu’il aurait préféré vivre dans l’absence : Ne point être et Savoir . Comme il aurait aimé!!! Vivre l’inexistentiel en toute conscience.N'était pas cela le paradis!!! Hélas , malgré la résistance qu’il lui semblait avoir déployé avec lucidité pour échapper à cet enlèvement , l’attraction terrestre l'avait surpris et il avait fini par chuter .Aux yeux de ses aînés, une fois incarné, il était devenu comme tout le monde : une personne avec une identité propre qu’il percevait cependant toute relative et à qui on avait appris au fil des années à dire « je » « moi » « moi je » sans jamais qu'il n'acquiert la moindre assurance d’être véritablement cette entité et surtout pas celui là qu‘on prétendait qu‘il fut!. Ainsi bardé d’étiquettes , d'un déguisement et d'un état civil, , il était entré dans la vie des hommes et jouait en catimini sur les planches de la vie... Soudain Le cliquetis d’une chaîne que l’on mouille arrêta net sa pensée discursive . Il s'agissait du gargouilli familier d'une ancre que l'on jette à l'eau. Il en était assurément convaincu . Dans l’instant, il prêta de nouveau l'oreille, mais le bruit s'était tû. De nouveau l’ immense flaque mouvante à la puissante respiration avait repris son droit sur le silence et Il lui sembla qu’elle couvait de la vie en devenir, comme portant en son sein une promesse d’amour qui se révèlerait peut-être , mais qu’annonçaient déjà avec frénésie cent mille particules de lumière venues de nulle part où bien de quelques forges divines , et qui , jaillissant sur la rade à la vitesse de l’éclair depuis l'enclume noir du ciel , rebondissaient en éclats métalliques incandescents de la surface fluide de son ventre rond, puis jouaient encore quelques instants à se perdre dans l’infini. Il y eut un soir, il y eut un matin et ce fut l’Inexprimable....
commentaire n° :2 posté par : MOR'AN (qui vient de la mer) le: 17/01/2008 à 21h54
Le temps de la lumière revenait. A endroit où le ciel touche la terre rougissait l’horizon . La nuit impuissante lentement s’ébranlait de son long cortège d’ombres comme une armée vaincue fuyant son vainqueur, qui n’en pouvant plus de retenir son essor, devenue incandescent , déversait sur le monde son immense gloire qui incendiait la baie. Lui, ce débile sexué , il était arrivé là de nouveau pour une unième vie, à cette même case départ qu‘il lui était devenue familière , sur cette plage de ce premier matin du monde toujours recommencé . Lui cet Homme enfant ,inscrit dans un schéma , dans l’attente d’une proie . Déjà cent fois , il avait joui de ces étreintes sacrées comme si Elles furent l’éternité incarnée dans laquelle il s’injectait , jusque l’orgasme, jusqu'au non-être , jusque cette dissolution de sa chair en l'éther Cette fois , il se l'était dit, que sa moitiè manquante croise sa vie et il ne tremblerait pas .Qu’il la désire peut-être mais seulement en son cœur.Qu’il soit ferme dans cette détermination . Qu'ellel soit translucide son Âme . Que celle qui vient à lui ne le trouble pas, qu’elle ne soit pas trop Femme et Surtout qu’il ne devine sa nudité dans le contre-jour titanesque de ce soleil levant, afin que son sexe ne l"a menace pas , ne se lève contre sa propre volonté et ne l’assaille …. Et alors , cette fois il parviendrait à dépasser sa condition humaine pour le paradis étherique. L’inexprimable était là en cette innocence, cette candeur qui se donne.L’inexprimable était cette Âme errante qui soudain jeta son ancre. L’Inexprimable tout à l'heure ce sera cette muse couchée comme un trait pour l’union de deux maux. L’Inexprimable ce sera cet enfant , dans ce regard d’adulte, réfugié et qui pleure doucement d'être devenu grand L’inexprimable ce seront eux, confrontés en un corps à corps éternel qui rognera leurs ailes . La proie mit pied à terre parvenue sur la plage ,mue par on ne sait quelle volonté secrète. Soudain , traversant ce décors grandiose , l’on entendit vaguement, distinctement, les sabots d'un cheval marteler le sable mouillé .Puis chevauchant sa monture folle , virevoltant en cavalier épinglé ,on le vit enlever une flamme pour éclairer sa nuit. Il ne s'était fallu d'un rien pour que son projet avorte..... Mais qui donc depuis la nuit dirigeait sa vie. (Fin de l'intro métaphorique)
commentaire n° :3 posté par : MOR'AN (qui vient de la mer) le: 19/01/2008 à 08h50
Lorsqu’il quitta du regard le tourbillon de son grand noir qu’il venait de tourner , il leva de nouveau ses yeux embués de sommeil en direction de son PC demeuré en veille. Il s’étira jusque presque se provoquer une déchirure ligamentaire afinde chasser cette lassitude de son corps qui perdurait puis se saisit de la souris . D’un clic , le minois de cette femme aux grands yeux noisettes réapparut sur toute la surface de la lucarne . Elle était trop …! Et depuis la veille elle était en pleine page sur son écran d’accueil… Et rangement il éprouva le besoin furtif de poser ses lèvres sur cette bouche rouge qui lui souriait avant de se caresser le cuir chevelu à la recherche d’une sensation tactile pour dissiper ses craintes de ne point encore naviguer dans le brouillard. Elle était bien là sur le bureau, irréelle , avec ses grands yeux noisettes qui semblaient vouloir vous manger , mais faites seulement d’un agglomérat de pixels qui s’organisaient autour de son émotion qu'elle devait avoir autocaptée en plein vol et déjà cette image semblait retenue comme par présage significatif par la mémoire de son disque dur , comme une preuve virtuelle , s’il en était, de son existence qui soudainement l’avait télescopée pour se révéler à la sienne . En avalant une longue gorgée de son café noir, il prit vraiment conscience de la réalité de cet impact qu’il avait ressenti dans la nuit comme lorsqu’une sirène passe et vous invite dans son sillage un instant. Cette onde de choc toute la nuit , elle s’était propagée et lui donnait maintenant l’impression que ce contact était parvenu à entamer sa résistance et que déjà cette figure emblématique de l’éternel féminin assiégeait déjà son cœur. D’un coup de chiffon , il souhaita effacer calmement cette impression du tableau noir de ses réflexions furtives. Cela ne devait pas inquiéter l’électron libre qu’il était, qu’il avait toujours été. Pour se conforter dans cette position tranchée , il avait entrepris une rapide rétrospective de ce qu’avait été sa relation aux femmes à commencer par sa mère , ses soeurs puis germaine la gouvernante et toutes les autres qui avaient ,de près ou de loin ,croisé dans ses eaux . Alors il s'était promis de maintenir le cap vers le grand large à la mouvance qui ennivre , promis de recouvrer entre deux ports d'attache sa liquide solitude qu'il chérissait. Il n’était pas homme à s’ancrer quelque part définitivement jusque son dernier soupir. Bien des fois , en effet, il avait affronté des tempêtes et malgré son cœur qui saignait ,il avait fui la compagnie des femmes n’y revenant que pour ce qu’elles avaient de divinement sacré. Derrière le pseudonyme de bagatelle se cachait Marie… Dieu , elle se prénommait Marie et ce prénom qui fleurait bon la sainteté, il ne l’avait jamais tutoyé , ni dans le verbe ni dans le geste. Il avait bien croisé une Marie dans sa vie, mais essentiellement le dimanche matin , lorsqu’à jeun, à cause du corps du Christ qu‘il devait mangé ce jour là, il se tenait là , planté dans sa culotte courte ,droit dans ses souliers vernis , face à cette sainte mère statufiée, livide, chancelant et raide comme un mât, assistant à la première messe dominicale pour la prier de devenir un petit garçon moins méchant c'est à dire beaucoup beaucoup plus gentil et presqu'autant que son jésus de fils… « Je vous salue Marie, pleine de grâce, que Jésus le fruit de vos entrailles soit béni. Donnez-nous  Notre pain quotidien… » Mais l’image de ce pain croustillant qui sentait bon la vie était trop forte pour le ventre vide qu’il était et jamais il n’était parvenu à prononcer le sacro-saint :« Ainsi soit-il . » avant de s’effondrer blanc comme un sac vide, non pas touché par la grâce divine mais par l’hypoglycémie.De sorte qu’il avait admis qu’il ne serait jamais exaucé, du moins tant qu’il ne parviendrait pas à achever sa prière à l’adresse de Marie. Dans la vie on avait rien pour rien . On le lui répétait assez et tous ses manquements étaient sanctionnés sévèrement par un séjour plus ou moins long dans le placard du corridor , tout nu comme un ver , -sauf quand Maman était là car la religion lui interdisait ces méthodes d'un autre âge-; de sorte qu’un sentiment de très forte culpabilité avait fini par l’assiéger de façon quasi permanente. Il se savait moins que rien et çà ce n’était pas du tout le paradis! Qu’il s’évanouisse? Cela ne faisait rien et même si son calvaire devait durer , il se sentait capable de souffrir au moins les douze stations du chemin de croix , rien que pour être seul avec sa maman afin de lui voler son attention, afin qu’elle n’ait que lui à regarder …entre deux alléluia . Ce n’était pas de sa faute. C’est qu’à la maison, elle n’était jamais là ou seulement le jour du seigneur comme elle disait. Les autres jours de la semaine , c’était son papa qui remplissait les fonctions du Seigneur et qui l'arrachait de sa maman, lui et ses deux soeurs à leur immense besoin . Sa Maman était son assistante permanente et personnelle et devait suffir à tous ses besoins sans exception dès l'instant où il surgissait. C'est ainsi qu'il su très tôt ce que voulait dire le mot: « Esclave ». Elle faisait tout et parcourait les routes de France avec son représentant de mari.Alors, durant toute l'éternité que durait les semaines, à la maison , toute puissante règnait par procuration la terrible Germaine, puis un peu mes deux sœurs…. Il ne savait rien de Marie, de sa prime enfance, de son enfance de son adolescence de sorte qu’il lui demanderait incessamment ,à l’occasion d’un courriel ,qu’elle lui parle de sa vie. Toujours il avait eu en lui ce besoin étrange et impérieux de connaître les parcours de vie de ces femmes qui croisaient au large de son île noire avant que de les aborder ,comme s’il cherchait la complétude , comme s’il cherchait les similitudes et les oppositions indispensables à une connivence, comme s’il devait les soumettre à l’épreuve du calque de son propre itinéraire de vie avant de les admettre comme des lontaines retrouvailles ou de probables connaissances de vies antérieures...
commentaire n° :4 posté par : Sylvercokring le: 20/01/2008 à 11h42
De nouveau ,comme toutes celles qui l’avaient précédé en ce lieu , il lui semblait bien que Marie était de ces êtres occupés à parcourir les grands espaces, fuyant ses états d’âme , cherchant inlassablement une issue probable à sa prison et qui parcourant l’existence à la frontière de l’ombre et de la lumière ne se doutait pas que déjà elles était immortelle , ignorant pour encore ,être à la fois le contenant et le contenu de toutes choses . Cette fois encore , guidée par on ne sait quelles forces occultes et cette soif d’éternité , tels ces papillons de nuit s’offrant à la flamme de la lampe ,tout laissait à penser qu'elle désirait dépasser son point de non retour qui la conduirait inextricablement bientôt jusque la porte de l’ultime secret. Obscurément il se sentait investi d'une mission et désirait sa NUIT …. Le jour s’était avancé et depuis le chien assis central de l’imposante bâtisse adossée à la côte de granit , l’on pouvait voir la mer et cette bande de ciel bleu délavé qui flottait comme un oriflamme au dessus de la baie. Lorsque l’homme ouvrit le châssis pour renouveler l’air la pièce par celui du grand large, on eût dit que le printemps était là , tant la brise légère lui parut comme une caresse sur sa peau burinée. Janvier doucement finissait de s’étirer et les mouettes qui accompagnaient la marée descendante de leurs cris aiguisés comme des lames eurent raison de la méditation dans laquelle il se serait certainement perdu. Il regarda encore une fois le soleil qui finissait de sortir de sa bogue rousse et qui posé sur la cime des pins qui bordait la route côtière semblait un fruit mur offert à sa main. Goulûment il prit une longue inspiration profonde comme pour s’en nourrir et tourna les talons. Il devait être 9 heures. A l’instant même où il estima l’heure un carillon lointain venant des terres sonna neuf coups. Se dirigeant vers son bureau, il Ouvrit son tiroir et en sortit un dossier. le front plissé par l’ interrogation qui le taraudait , il parcourut rapidement les termes d'un contrat. Semblant rassuré par la procédure , il finit par se saisir d’une lourde clé qui voisinait l’ordinateur puis sortit de la pièce mansardée qui lui tenait lieu de chambre bureau pour se diriger jusqu’au fond du long corridor central qui desservait les combles. En son extrémité nord , une lourde porte de chêne deux fois séculaire fermait le passage. On eût dit une porte de prison. Mais ce n'en était une!!! Lentement , contrôlant son mouvement, il fit pivoter le judas sur son axe et jeta un œil attentif. Assurément tout lui sembla normal . Une clarté blafarde et chancelante prêtait à la pièce une allure moyenâgeuse et projetait de pâles ombres que déformait le pignon de pierres construit en fer à cheval. Il fit lentement la clef pénétrer la serrure , un glissement léger du penne dans la gâche se produisit comme une plainte jouissive et la porte en deux tour de mains fut grande ouverte. La pièce en pierres apparentes était en arc de cercle , telle une demi lune. Au centre de cette cellule siégeait l’unique meuble de la pièce :une lourde table monastère en chêne massif sur laquelle on avait disposé en opposition symétrique à chacune de ses extrémités deux chandeliers gothiques sur lesquels finissaient de se consumer deux cierges de diamètre respectable . Au centre un vieux grimoire traitait de quelques supplices moyenageux. Une musique new age à la gloire du ciel , diffusé par trois enceintes ,tournait en boucle. Enfin de l’encens se consumait qui ne parvenait pas à couvrir cette odeur de femme consignée dans ces murs depuis la veille , enferrée et nue selon les termes d'une soumission librement consentie et dont les ombres amplifiées et multipliées par les deux flammes des cierges se projetaient déformées sur le mur de pierre en extension cambrée et parfois pivotait en ultime appui sur la pointe de ses pieds ,les bras levés au ciel sous la contrainte de l’attache. La tête inclinée, au visage masqué par la longue chevelure, s’appuyait de temps à autre sur ses bras levés, puis retombait sur sa poitrine tenue haute par la pose. Ses seins étaient arrogants et souverains, son ventre long, lisse et plat magnifiait de la sorte la protubérance pubienne de son sexe intégralement nu , lisse et d'une douceur que l'on devinait soyeuse et que l’ombre et la lumière dansantes des cierges tour à tour estompait comme pour mieux le laisser reparaître entre ses cuisses ondulantes comme un désir qui se noie. Pivotant lentement de fatigue , engendrée par la posture douloureuse , elle exposait tour à tour à son regard qui la convoitait ses longues cuisses fuselées desquelles , par un élan pudique , elles tentaient de masquer sa cicatrice mouillée de femme qui suintait, puis tournoyant encore elle offrait à ses sens exacerbés cette croupe à l’harmonie parfaite qui finissait par l’anéantir . Alors, tournoyant autour comme un aigle sur sa proie, il finissait par la saisir de ses ailes déployées puis l’effleurait subtilement de la pulpe de ses doigts jusque l’embarquer dans de longs frissons en tous ses endroits, puis la massait généreusement comme pour mieux la préparer à la morsure cuisante du fouet qui allait bientôt venir. Alors, dans cette attente qui tardait perfidement, tandis que l’odeur de son tendre cuir charnel d’avec celui tressé du fouet commençait de s’entremêler , elle entrait en jouissance , gémissante et supliante et plongeait animale et féline en cet état second qui la sublimait dès le premier coup de fouet donné à sa chair tendre offerte, convertissant par il ne savait quelle alchimie sa douleur en bonheur.
commentaire n° :5 posté par : Sylvercokring le: 22/01/2008 à 01h54
L’homme en réponse à cette détermination affichée qu’il connaissait bien chez elle, figeait tout aussitôt ses traits et glaçait son regard comme pour refuser cette luminescence éprouvante qui courrait souvent , il l'avait souvent constaté, sur la peau nue des femmes en cette circonstance comme un courant statique, puis ne la considérant plus que dans sa dimension animale offerte à sa propre pénitence , recherchant ses marques, s’exerçant encore un instant à l’encontre du vide, faisant de nouveau claquer son fouet comme pour finir de rôder l'instrument à son bras et d'en achever l'assouplissement. Alors soudainement faisant face à la captive, la longue verge fine s'envolait en une parabole pour mourir sur cette peau , dessinant instantanément une longue estafilade qui lui barrait le dos, semblable à l'empreinte d'une griffe unique et large . Il arriva souvent au premier coup porté , que le corps s'arqueboute dans un réflexe ultime , chavire , pivote , puis se pende par les mains en toupille. Alors L’homme, ne se départissant pas de son calme apparent posait son instrument de torture et portant ses mains sur les hanches de l'assujettie la stabilisait en appui sur ses pointes de pied en cette posture éprouvante qu'elle s'imposait d'elle même. Très vite , le geste revenait puis devenait magistral. La frappe s'accordait à la demande du corps qui sous la flagelle ondulait , dansait en un ballet cruel tandis qu'à fleur de peau courraient de longs lacets blancs posés, un par un arrivés, et qui, tout aussitôt s'entremêlaient au gré des mouvements compulsifs qui agitait la proie, comme autant de réflexes, dérisoires face à la multitude des assauts incessants de la tresse de cuir. Malgré il ne trahissait pas . Il se devait d’être aveugle à ces douleurs dont on tentait d'exorciser les causes , qu'on exhibaient ici au-delà de l'entendement et il mesurait dans ces moments là , sur ses épaules, l'exact poids mental des blessures cumulées par ces femmes de passage aux destineés étranges; effrayé qu'il était en son coeur par ce qu’elles s’imposaient. Tant et si bien, que des deux antagonistes qui jouaient en ce sombre théâtre , il en devenait vite l’esclave unique de ses captives à la peine , s’enfermant par la même en leur sphère de feu, de douleurs et de larmes, où de nouveau s’entrouvraient , comme pour mieux qu'ils s’affrontent , leurs blessures profondes d'un passé revenu en droite ligne d'un sempiternel combat toujours recommencé dans lequel ses captives et lui esclave en la matière consignés , chacuns opposant le contrepoids de ses dérives humaines , finissaient par se fondre pour ne plus être qu’un . Attentif à leurs douleurs , au moindre doute qui s‘immiscait sur la portée d'un coup, il accordait au corps animal qui tressaille sa main chaude qui caresse , puis reprenant son fouet , surveillait encore leurs lèvres à leurs bouches , exercait son oreille à leurs souffles perturbés dans l’attente escomptée qu’elle prononcerait enfin le mot clé… Ou bien il attendrait contraint jusque l’extinction de la première flamme . Elle, dans l’instant en son corps n’est plus … Seule son torse comme un forge essouflée gonfle ses seins et témoigne de la vie qui se plaît dans ce corps Elle n'a à aucun moment prononcé le mot clé , ni non plus demandé par un geste convenu : grâce Grâce de l'épreuve qu'elle s'impose. La détermination qui l'anime la transporte vers des sommets qu'il n'ose imaginer. Le vertige le prend et l'angoisse viscérale de nouveau bande son sexe.Il craint en secret pour sa vie ce lacher prise délibéré... Dans cette relation secrète , il n' a pas su à tous les instants demeuré l'ascendant , tant la mouvance des émotions qu'elle produit l'aspire. Il se sent liquide comme une mer soumise à l'attration de l'astre. Il ne lui semble n'être dans son approche que son catalyseur , celui qui provoquera une réaction alchimique de laquelle ,aussitôt déclanchée il en sera exclu. Pourtant, s'en approchant , lui soutenant la tête , il se dit qu'il lui serait aisé d'en décider autrement: de ne plus jamais la revoir ! Enfin en ses mains ne tient-il pas les cartes ? N' ignore-t-elle pas tout de son identité propre et aussi jusque ce lieu où elle y parvient bandée ? Ce soir encore, à la nuit tombée, après qu'elle se sera baignée , restaurée puis reposée quelques heures dans la chambre d'isolement sise à l'autre bout des combles,il viendra sans un mot la chercher ,à l'heure dite, lui porter rituellement ses vêtements pour enfin qu'elle recouvre son identité de femme , pour qu'enfin qu'elle s'affranchisse de son animalité , de cette appartenance ponctuelle temporaire convenue en un contrat écrit . Alors , de nouveau il lui bandera les yeux ,cette fois pour la soustraire de sa captivité et placera ses mains sous l'entrave des menottes et l'embarquera à bord du fourgon noir garé à la cave , jusque sa destination retour. Alors , au lieu fixé , le visage masqué , il lui ouvrira les portes de sa liberté , otera son collier , lui caressera , de l'envers de ses doigts repliés, tendrement la joue. Elle , dans sa peau d'ange revenue ne dira mot, seulement cherchera ses yeux de son regard comme pour lui dire vaguement : à bientôt. Tandis qu'il avait pris sa douce captive meurtrie à bras le corps, pour la soulever et la libérer de l'entrave qui la retenait au crochet de la la poutre , poussant de son coude le grimoire cramoisi pour faire place nette, il l'a posa avec une délicatesse infinie sur la lourde table . De part et d'autre de ce corps les chandeliers avait fini de diffuser leur lumière blafarde et seul deux meurtrières vitrées qui s'inscrivaient en arc de cercle dans l'arrondi du pignon permettaient encore de voir quelque peu. Tout aussitôt L'homme ouvrit la lourde porte de la pièce dans laquelle la messe venait d'être dite et actionna depuis un interrupteur fixé au mur du corridor une sonnette dont on entendit même pas l'effet se produire comme si elle ne fonctionnait pas, puis se dirigeant dans le long corridor sembla treissaillir malgré lui devant les portes de bois de ce placard où enfant maltraité il y avait passé des heures , nu , sanglotant toute l'humidité de son corps jusque manquer de larmes pour dissoudre sa peine tandis qu'il subissait le joug de la grosse germaine. Se reprenant, dissipant son intense émotion , il en ouvrit les portes pour se saisir d'une trousse médicale et d' une robe de chambre. A l'autre bout du couloir l'on percevait le bruit d'un robinet qu'on venait juste d'ouvrir et qui coulait à flots. Précautioneusement il examina centimètres carré par centimètres carré le corps de celle qui venait de s'offrir à la torture. Il ne trouva aucune déchirure cutané et se félicita de sa grande maîtrise pour cet exercice difficile. La peau seule était marquée de longues striures rougeoyantes qui finiraient par s'estomper dans les quarante huit heures à venir. Il écouta son coeur sous la ligne de son sein et prit sa tension. Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes!!!! Et il ne se surprit pas de cet attendrissement soudain à son égard car des liens s'étaient tissés qui ressemblaient maintenant à des cordes d'amarrage et malgré toutes les craintes qu'il ne cessait de développer à propos d'une fin qui se pourrait tragique, en son for intérieur il souhaitait très fort la revoir. D'un revers de manche il éloigna de lui cette idée et se saissisant de sa captive il la plaça sur le peignoir disposé sur la table à son côté . Ainsi nue dans les bras de son bourreau , posée sur le tissu blanc immaculé du peignoir,tel un héros secourant le phénix qui ne parvenait à renaître ils traversa le long corridor et l'inclina lentement dans ce bain moussant. Alors seulement elle ouvrit les paupières lorsque l'eau fut à ses reins.La sensation lui fut douce mais elle sembla quelque peu empruntée à l'égard de cette petite femme qui l'avait regardée et qui tout aussitôt qu'elle se fut éveillée l'avait fui comme la peste en trotte menue jusque atteindre l'escalier central qui désservait les combles... C'était Marthe, de son prénom Marthe et de son état originel couturière devant Dieu , Melle Soutanas fut choisi à l'unanimité, il y avait maintenant longtemps par la famille , lorsque Germaine fut destituée pour harcèlement sexuel à l' endroit de cet homme qui n'était, à l'époque relatée, que chacun se rassure, qu'un petit garçon impubère et fragile et quelque peu perturbé , il faut bien le dire , de n'avoir eue de Maman présente pour l' aimer au moment où il faut. De la sorte, devenu solitaire , il se complaisait , un comble , à jouer à la poupée aussi bien que sa maman du piano le dimanche, tant et tant que cela avait fini par agacer extraordinairement la gouvernante qui s'en était fait son souffre douleur préféré par facilité , ses deux soeurs aînées étant déjà un peu trop grandes et en âge de comprendre, lequel si elle ne l'éduquait rapidement selon sa prppre perception des choses et son sens inné de l'éducation à apporter aux enfants , finirait par devenir un drôle de vrai joli petit PD , du moins s'en était-elle persuadée, pour le choisir sans problème de conscience, en tant qu'exutoire de ses propres angoisses existentielles !!!! Car cette faute impardonnable de l'avoir laissé viré de bord , on ne manquerait pas de la lui reprocher à commencer par sa mère. Aussi elle s'était mis en tête d'endurcir le gamin prétextant des bétises incertaines dont il se serait rendu coupable, mais desquelles l'enfant ne se souvenait pas , telles des petites culottes de ses soeurs régulièrement dans sa chambre retrouvées et qui lui valaient avant la fessée au martinet afin qu'il comprenne qu'il n'était pas une fille la démonstration de la douleur par l'introduction de son gros doigt dans son orifice anal en lui demandant de sa voix d'outre tombe qu'elle prenait comme pour mieux l'impressionner : c'est ça que tu veux? Dis ! c'est ça que tu veux? Puis venaient les vingt coups de martinet et les trois heures éternelles de placard dans l'obscurité totale. Toujours est-il que c'est à la suite de cette éducation spartiate plusieurs fois renouvelée au fil des ans que Mademoiselle Marthe devint définitivement la nouvelle gouvernante de ce lieu. Plus tard, bien plus tard, à la mort de ses parents, héritant du même coup de la bâtisse dont ses soeurs ne voulait pas pour des raisons d'éloignement professionnel , il ne s'en était pas séparé , ni de l'une en pierres du pays, ni de l'autre en chair humaine de Bretagne. C'est que depuis tout petit déjà , il avait été amené à la côtoyer souvent, puis très souvent . De la sorte, Melle Marthe aussi avait fini par le connaître un petit peu , avant que de très bien le reconnaître , même jusque dans ce qu'elle estimait ses troubles comportementaux qui conduisait le gosse souvent au bois dans lequel, elle l'avait surprise à l'époque plus d'une fois, il jouait tout nu au vrai sauvage des après midi tout entier jusque la nuit tombante, mais cependant n'en avait jamais parlé à quiconque ni encore moins à ses parents qui lui auraient interdits pour le coup de fréquenter ce lieu et elle ne l'aurait plus vu. C'est que c'était sa distraction à elle qui vivait dans cette petite maisonette à l'orée du bois. A bien réfléchir, C'était certainement cette discrétion inoxydable , sa grande loyauté à son égard et aussi bien évidemment son intelligence du coeur , cela va de paire , qui avaient finies par émouvoir cet homme jusque son tréfond , de sorte que, malgré l' âge avancé qu'elle avait aujourd'hui , il n'avait jamais songé à la mettre en retraite , bien qu'elle en toucha une déjà , mais l'avait donc conservé à son service.
commentaire n° :6 posté par : MOR'AN le: 23/01/2008 à 19h12
Alors dans cette attente qui tardait, tandis que l’odeur de son tendre cuir charnel s’entremêlait intimement à celui des lanières de cuir tressées du fouet qu'on assouplissait par des coups secs portés au vide et que montait en une longue plainte suggestive les premières notes d'une musique grégorienne , déjà, avant même la première morsure faite à sa chair offerte , elle entrait en jouissance , en cet état second où son esprit de son corps s'évadait - le laissant seul , tel un animal abandonné à sa chaîne - convertissant ainsi de la sorte , il ne savait par quelle alchimie sa douleur ....en plaisir ! L’homme en réponse à cette détermination affichée qu’il connaissait bien chez elle, figea tout aussitôt ses traits et glaça son regard comme pour refuser cette luminescence éprouvante qui courrait souvent , il l'avait souvent constaté, sur le fleur de peau des femmes nues en cette circonstance semblable à un courant statique, puis ne la considérant plus que dans sa dimension animale offerte à sa propre pénitence , recherchant ses marques, s’exerçant encore un instant à l’encontre du vide, faisant de nouveau claquer son fouet comme pour finir de rôder l'instrument à son bras et d'en achever l'assouplissement. Alors soudainement faisant face à la captive, la longue verge fine s'envolait en une parabole pour mourir sur cette peau , dessinant instantanément une longue estafilade qui lui barrait le dos, semblable à l'empreinte d'une griffe unique et large . Il arriva souvent au premier coup porté , que le corps s'arqueboute dans un réflexe ultime , chavire , pivote , puis se pende par les mains en toupille. Alors L’homme, ne se départissant de son calme apparent posait son instrument de torture et portant ses mains sur les hanches de l'assujettie la stabilisait en appui sur ses pointes de pied en cette posture éprouvante qu'elle s'imposait d'elle même. Très vite , le geste revenait puis devenait magistral. La frappe s'accordait à la demande du corps qui sous la flagelle ondulait , dansait en un ballet cruel tandis qu'à fleur de peau courraient de longs lacets blancs posés, un par un arrivés, et qui, tout aussitôt s'entremêlaient au gré des mouvements compulsifs qui agitait la proie, comme autant de réflexes, dérisoires face à la multitude des assauts incessants de la tresse de cuir. Malgré il ne trahissait pas . Il se devait d’être aveugle à ces douleurs dont on tentait d'exorciser les causes , qu'on exhibaient ici au-delà de l'entendement et il mesurait dans ces moments là , sur ses épaules, l'exact poids mental des blessures cumulées par ces femmes de passage aux destineés étranges; effrayé qu'il était en son coeur par ce qu’elles s’imposaient. Tant et si bien, que des deux antagonistes qui jouaient en ce sombre théâtre , il en devenait vite l’esclave unique de ses captives à la peine , s’enfermant par la même en leur sphère de feu, de douleurs et de larmes, où de nouveau s’entrouvraient , comme pour mieux qu'ils s’affrontent , leurs blessures profondes d'un passé revenu en droite ligne d'un sempiternel combat toujours recommencé dans lequel ses captives et lui l'esclave esclave en la matière consignés , opposant chacunes à l'autre tout le contrepoids de ses dérives humaines , finissaient par se fondre pour ne plus être qu’un . Attentif à leurs douleurs , au moindre doute qui s‘immiscait sur la portée d'un coup, il accordait au corps animal qui tressaille sa main chaude qui caresse , puis reprenant son fouet , surveillait encore leurs lèvres à leurs bouches , exercait son oreille à leurs souffles perturbés dans l’attente escomptée qu’elle prononcerait enfin le mot clé… Ou bien il attendrait contraint jusque l’extinction de la première flamme aux cierges allumées. Elle, dans l’instant en son corps n’est plus … Seule son torse comme un forge essouflée gonfle ses seins témoignant de la vie qui se plaît dans ce corps Elle n'a à aucun moment prononcé le mot clé , ni non plus demandé par le geste convenu grâce de l'épreuve qu'elle s'impose. La détermination qui l'anime la transporte vers des sommets qu'il n'ose imaginer. Le vertige le prend et l'angoisse viscérale bande son sexe. Il craint en secret pour la vie de celle ci un lacher prise délibéré... Dans cette relation secrète , il n' a pas su à tous les instants demeuré l'ascendant , tant la turbulence des émotions qu'elle produit le secoue.. Il se sent liquide comme une mer soumise à l'attration de l'astre. Il ne lui semble n'être dans son approche que son catalyseur , celui qui provoquera une réaction alchimique de laquelle ,aussitôt déclanchée il en sera exclu. Pourtant, s'en approchant , lui soutenant la tête , il se dit qu'il lui serait aisé d'en décider autrement: de ne plus jamais la revoir ! Enfin en ses mains ne tient-il pas les cartes ? N' ignore-t-elle pas tout de son identité propre et aussi jusque ce lieu où elle y parvient bandée ? Ce soir encore, à la nuit tombée, après qu'elle se sera baignée , restaurée puis reposée quelques heures dans la chambre d'isolement sise à l'autre bout des combles,il viendra sans un mot la chercher ,à l'heure dite, lui porter rituellement ses vêtements pour enfin qu'elle recouvre son identité de femme , pour qu'enfin qu'elle s'affranchisse de son animalité , de cette appartenance ponctuelle temporaire convenue en un contrat écrit . Alors , de nouveau il lui bandera les yeux ,cette fois pour la soustraire de sa captivité et placera ses mains sous l'entrave des menottes et l'embarquera à bord du fourgon noir qui les attend à la cave , jusque sa destination retour. Alors , au lieu fixé , le visage masqué , il lui ouvrira les portes de sa liberté , otera son collier , lui caressera , de l'envers de ses doigts repliés, tendrement la joue. Elle , dans sa peau d'ange revenue ne dira mot, seulement cherchera ses yeux sous son masque comme pour lui dire vaguement à bientôt. Tandis qu'il avait pris sa douce captive meurtrie à bras le corps, pour la soulever et la libérer de l'entrave qui la retenait au crochet de la la poutre , poussant de son coude le grimoire cramoisi pour faire place nette, il l'a posa avec une délicatesse infinie sur la lourde table . De part et d'autre de ce corps les chandeliers avait fini de diffuser leur lumière blafarde et seul deux meurtrières vitrées qui s'inscrivaient en arc de cercle dans l'arrondi du pignon permettaient encore de voir quelque peu. Tout aussitôt L'homme ouvrit la lourde porte de la pièce dans laquelle la messe venait d'être dite et actionna depuis un interrupteur fixé au mur du corridor une sonnette dont on entendit même pas l'effet se produire comme si elle ne fonctionnait pas, puis se dirigeant dans le long corridor sembla treissaillir malgré lui devant les portes de bois de ce placard où enfant maltraité il y avait passé des heures , nu , sanglotant toute l'humidité de son corps jusque manquer de larmes pour dissoudre sa peine tandis qu'il subissait le joug de la grosse germaine. Se reprenant, dissipant son intense émotion tant bien que mal, il en ouvrit les portes pour se saisir d'une trousse médicale ainsi qu' une robe de chambre. A l'autre bout du couloir l'on percevait le bruit d'un robinet qu'on venait juste d'ouvrir et qui coulait à flots. Précautioneusement il examina centimètres carré par centimètres carré le corps de celle qui venait de s'offrir à la torture. Il ne trouva aucune déchirure cutané et se félicita de sa grande maîtrise pour cet exercice difficile. La peau seule était marquée de longues striures rougeoyantes qui finiraient par s'estomper dans les quarante huit heures à venir. Il écouta son coeur sous la ligne de son sein et prit sa tension. Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes!!!! Et il ne se surprit pas de cet attendrissement soudain à son égard car des liens s'étaient tissés qui ressemblaient maintenant à des cordes d'amarrage et malgré toutes les craintes qu'il ne cessait de développer à propos d'une fin qui se pourrait tragique, en son for intérieur il souhaitait très fort la revoir. D'un revers de manche il éloigna de lui cette idée paradoxale et se saissisant de sa captive il la plaça sur le peignoir disposé sur la table à son côté . Ainsi nue dans les bras de son bourreau , posée sur le tissu blanc immaculé du peignoir,tel un héros secourant le phénix qui ne parvenait à renaître , il traversa triomphant le long corridor et l'inclina lentement dans ce bain moussant. Alors seulement elle ouvrit les paupières lorsque l'eau fut à ses reins. La sensation lui fut extraordinairement douce puis elle parue décontenancée à l'égard de cette femme sans âge à la silhouette diforme qui l'observait et qui tout aussitôt s'en était allée en trottinant menue jusque l'escalier central qui désservait les combles... De son prénom Marthe et de son état ex-couturière devant l'eternel, Melle Soutanas fut choisi à l'unanimité, il y avait maintenant longtemps par la famille , lorsque Germaine fut destituée pour harcèlement sexuel à l' endroit de cet homme qui n'était, à l'époque relatée, que chacun se rassure, qu'un petit garçon impubère et fragile et quelque peu perturbé , il faut bien le dire , de n'avoir eu de Maman présente pour l' aimer au moment où il faut. De la sorte, devenu solitaire , il se complaisait , un comble , à jouer à la poupée aussi bien que sa maman du piano le dimanche, tant et tant que cela avait fini par agacer extraordinairement la gouvernante qui s'en était fait son souffre douleur préféré par facilité , ses deux soeurs aînées étant déjà un peu trop grandes et en âge de comprendre, lequel si elle ne l'éduquait rapidement selon ses propres méthodes et son sens inné de l'éducation finirait par devenir un drôle de vrai joli petit PD , du moins s'en était-elle persuadée, pour le choisir sans problème de conscience, en tant qu'exutoire de ses angoisses existentielles !!!! Car cette faute impardonnable de l'avoir laissé viré de bord , on ne manquerait pas de la lui reprocher à commencer par sa mère. Aussi elle s'était mis en tête d'endurcir le gamin prétextant des bétises incertaines dont il se serait rendu coupable, mais desquelles l'enfant ne se souvenait pas , telles ces petites culottes de ses soeurs régulièrement dans sa chambre retrouvées et qui lui valaient avant le martinet afin qu'il comprenne mieux qu'il n'était pas une fille la démonstration de la douleur d'en être une par l'introduction de son gros doigt dans son anus en lui demandant de sa voix d'outre tombe qu'elle prenait comme pour mieux l'impressionner : c'est ça que tu veux? Dis ! c'est ça que tu veux? Puis venaient la volée des lanières de martinet tandis qu'il demeurait nu en position foetale et les trois heures de cachaud dans l'obscurité totale des combles. Toujours est-il que c'est à la suite de cette éducation spartiate cent renouvelée dans ces excès au fil des ans que Mademoiselle Marthe devint définitivement la nouvelle gouvernante de ce lieu. Plus tard, bien plus tard, à la mort de ses parents, héritant du même coup de la bâtisse dont ses soeurs ne voulait pas pour des raisons d'éloignement professionnel , il ne s'en était pas séparé , ni de l'une en pierres du pays, ni de l'autre en véritable coeur humain de Bretagne. C'est que depuis déjà tout petit , il avait été amené à la côtoyer souvent, puis très souvent . Elle était la couturière attitrée de la famille qu'il visitait une fois la semaine pour lui confier des travaux . De la sorte, Melle Marthe aussi avait fini par le connaître un petit peu , avant que de très bien le reconnaître , même jusque dans ce qu'elle estimait ses troubles comportementaux qui conduisait le gosse souvent à poursuivre sa course au bois dans lequel, elle l'avait surprise à l'époque plus d'une fois, il jouait tout nu au vrai sauvage des après midi tout entier jusque la nuit tombante, mais cependant n'en avait jamais parlé à quiconque ni encore moins à ses parents qui lui auraient interdits pour le coup de venir lui porter les travaux de couture et du coup, elle ne l'aurait plus vu. C'est que c'était sa distraction à elle qui vivait dans cette petite maisonette isolée juste plantée là à l'orée du bois. A bien réfléchir, C'était certainement cette discrétion inoxydable , sa grande loyauté à son égard et aussi bien évidemment son intelligence du coeur , cela va de soit , qui avaient finies par émouvoir cet homme jusque son tréfond , de sorte que, malgré l' âge avancé qu'elle avait aujourd'hui , il n'avait jamais songé à la mettre en retraite , bien qu'elle en toucha déjà une , mais l'avait donc conservé à son service.
commentaire n° :7 posté par : MOR'AN le: 25/01/2008 à 21h21
Il était 3h du matin lorsque le fourgon mercédes noir revint à son port d’attache. Marthe entendit ,depuis sa chambre de l’étage qui donnait sur la mer , le bruit familier du moteur qui ronronnait au ralenti dans l’attente que le robot finisse de manoeuvrer le portail , tandis que sa lampe témoin orange éclaboussait de ses flashs spasmodiques les troncs inclinés des vieux pins qui habitaient le parc . Puis le fourgon s’ébranla de nouveau lentement et s’engagea dans l’allée sablonneuse qui montait à la bâtisse et qui passant sous la pinède dessinait comme par intention , une douce courbe comme seules les sirènes et les femmes en possèdent et qui vous reconduisent à la case départ . Les galets qui stabilisaient l’allée sablonneuse s’entrechoquaient parfois sous les roues du véhicule lequel avait fini par dessiner un rail encaissé qui l’ orientait sans même qu’il ne soit besoin de le diriger . Exceptées ces profondes saignées parallèles , une fine herbe de pré salé ,qui aime à fréquenter les bords de mer, s’était imposé partout tout naturellement et poussait dru comme une chevelure dense et crépue qui ondulait sous les brises maritimes à la façon d’une masse liquide. Le fourgon ,à l’endroit où l’allée se partageait, bifurqua sur l’aine gauche afin de rejoindre le pignon orienté Est de la bâtisse où se trouvait l’accès à la remise. Encore un instant, le moteur ronronna pendant que l’homme faisait coulisser la grande porte. puis le fourgon s’engouffra roulant à même le rocher nu poli qui avait été terrassé il y a bien longtemps pour en faire un plateau sur lequel s’était fondée l’imposante bâtisse… puis stoppa… De nouveau Marthe entendit la porte de la remise coulissée puis le silence reprit ses droits sur la nuit. Une fois encore tout semblait s’être bien passé et la gouvernante soupira comme pour chasser ses dernières inquiétudes . A présent elle pouvait s’endormir sur ses deux oreilles, plus rien ne viendrait la perturber. L’homme remonta à pas feutré , comme il en avait l’habitude déjà enfant, l’escalier de la remise qui débouchait sur le long corridor identique à celui des combles. Une lampe veillait dans la cuisine et projetait en triangle de lumière sur le parquet ciré . L’homme poussa la porte demeurée entrouverte , entra, ouvrit le réfrigérateur pour se saisir de l’assiette que sa gouvernante ne manquait jamais de lui préparer afin qu’il puisse se restaurer lors de ses retours nocturnes auxquels ses engagements le contraignaient. Mais il mégota sur l’assiette anglaise , mangea uniquement une petite Page:15 tranche de jambon fumé accompagné de deux ou trois feuilles de laitue qu’une vinaigrette accompagnait et quitta l’étage vers les combles. Ces dernières 24 heures avaient été éprouvantes . Il se sentait pour la première fois quelque peu décroché et consécutivement à ce sentiment qui l’empoignait , il s’était interrogé sur la finalité de tout cela , se demandant qui tirait les ficelles; qui animait la marionnette qu’il s’était toujours senti être . Pourquoi ? Comment avait-il pu éprouvé lentement ce besoin devenu irrépressible de se plonger ponctuellement dans le rôle du père fouettard ? lorsqu’au fond de lui-même il se sentait tel un ange mu par un inextinguible besoin d’aimer . C’est accablé par ce paradoxe qu’il finit de monter l’escalier. On eût dit en la circonstance , un porteur de haute montagne , éreinté sous le poids de la charge , qu’une cordée invisible à laquelle il se sentait bien appartenir d’une façon ou d’une autre , lui aurait confié dans le cadre de son éternel projet celui de fouler toujours plus haut la virginité des sommets. En effet la charge émotionnelle qu’il recevait chaque fois en retour , de cette femme , Éclipse de son pseudo, lui pesait maintenant étrangement sur les épaules et il se demandait s’il parviendrait à la suivre dans ses exigences toujours plus proches du ciel. Dans le corridor des combles parvenu, palpant la poche de sa veste pour en extraire la clé de son nid d‘aigle comme il aimait ainsi nommer sa chambre bureau d’où tout se décidait, il constata à regret qu’il avait oublié les menottes sur le siège avant du fourgon et que seul son masque en latex, il l’avait empoché. Il n’aimait pas du tout cela par principe et il se blâma de son étourderie . C’était un homme qui avait de la méthode et il avait appris au fil de l’expérience par une multitude de déboires, demeurés sans conséquences, que sa tendre inclinaison à servir les plus doux secrets de la gente féminine ne pouvait , du moins au niveau de ces profondeurs abyssales dans lesquelles leurs fantasmes l’entraînaient, souffrir de la plus petite infiltration sous peine de faire imploser sa réputation que chacune , passantes puis revenantes, ne manquaient de qualifier de redoutable et de parfaitement étanche.. Comme celle de ses sous-marins aussi invisibles que redoutables… Cette fois , ce n’était là qu’un détail, s’accorda-t-il d’admettre comme pour atténuer son sentiment de culpabilité qui grandissait en lui, mais cela méritait à son sens qu’il s’en soit fait au moins la remarque, estima-t-il une bonne fois pour toutes. Car enfin, seule , et il en était convaincu, une grande rigueur de Page:16 comportement lui avait permis jusqu’ici de gagner ce qu’il y a de plus inaccessible chez les femmes à savoir: Leur confiance : cette clé inestimable ou plutôt ce catalyseur aussi indispensable que précieux qui ouvrait la porte des tréfonds et sans lequel tout rapprochement n’aurait été qu’apparent ou superficiel , privant la relation de cette réaction aussi soudaine que sublime qu’il déclanchait en cette succession de bouleversements mentaux à la chaîne qui conduisaient immanquablement à la fission entre deux illusions d'être. Au prime abord, Elle ne lui avait pas fait l’effet d’une bombe dans son cœur , mais tout de même , lorsque Marie l’avait contacté par e-mail en réponse à son annonce passée sur la toile, entre toutes les autres réponses reçues , il avait perçu son courriel comme un ricochet , à la surface de sa rade, qui n’en finissait pas de rebondir comme un petit caillou plat qu’elle aurait longtemps cherché, parfait comme une pièce de monnaie , avant de faire l‘effort de se baisser pour finir par le lancer à son adresse, sans trop y croire ,mais qui soudain s’était révélé à son attention entre la multitude , par ses rebonds qui dansaient la tendresse. Son courriel était comme un soleil chassant son obscurité …. Elle disait textuellement: « Bonsoir à vous, Je voulais simplement vous dire combien j’ai lu avec intérêt et plaisir votre texte précisant de façon claire et concise votre démarche. Au travers de vos mots, l’on sent indéniablement la personne humaine , rigoureuse , sensible et attentive à l’autre. Cela ne trompe pas et c’est rare ici. » Puis terminait:   « je vous souhaite de belles rencontres . Marie. » Bien souvent dans ses réponses à son annonce il avait eu à faire ,une fois sur dix à des fantômes du net , qui surfaient là , gesticulantes sous leurs draps blancs, follettes tremblantes et incertaines en cette zone délicieusement trouble mais aussi rassurante qu’un coupe gorge et jamais au grand jamais aucunes de toutes celles qui l’interpellaient depuis les douves de son donjon pour enfin être manger par l’abominable ogre ne l’avaient fait avec une telle exquise délicatesse . Cela lui était apparue comme une démarche paradoxale , tant et si bien Page:17 que l’extraordinaire singularité de son premier pas l’avait conforté dans son idée qu’elle était en quelque sorte inscrite dans le rôle du petit chaperon rouge égaré au bois et qu’il convenait de lui porter secours afin qu’elle échappa au grand méchant loup. Dans son panier ou plutôt sur son blog il y avait pêle-mêle quelques clichés sur ce qu’elle appelait ses années folles , puis des textes sur ces difficultés existentielles. C’était à ses yeux bien plus que la galette qu’elle aurait pu destinée à Mère Grand!!!! C’était un trésor d’une grande pureté!!! Du cliché 7, il avait ressenti une violente émotion en s’en imprégnant. Non pas parce qu’on eût dit le minois d’une petite chatte toute ronronnante au sortir de son panier tout noir, mais pour tout autre chose , une secousse qui provoquait un précipité , une réminiscence remontant de sa prime adolescence … Dans son exercice de présentation qu’elle estimait mal aisé selon ses propres dire, elle disait : « Si j'essaie de me dire un peu… autrement dit... voilà peut-être ce que j'aimerais écrire de/sur moi ou que les gens disent de /sur moi.. Je suis une et multiple Marie ....à la fois forte et faible... une femme simplement. J'ai quelques " passions " dont la nature (quelques rares connaissances en botanique... je raffole des herbes folles ) et les grands espaces. Je monte à cheval et suis une piètre écuyère... J'aime à la manière d'un pêle-mêle le chocolat noir amer, les coquelicots et les bleuets, les baisers, rire, le vin rouge, lire, les caresses (beaucoup), méditer, la musique (classique, baroque, blues et jazz), jardiner (ou plutôt regarder pousser les fleurs), les mots doux, le tricot ( à trous), le fromage (à trous aussi), les feux de bois, la soie, la nature et ses petites (et plus grosses ) bêtes, la tarte aux pommes, les chevaux donc, écrire des bêtises ...avec rigueur et application) , la douceur, le vélo... l' Europe du Nord... Et puis aussi le charme des hommes... J'évite d'avoir trop d'affinités avec la bêtise humaine, l'irrespect, la suffisance, le mépris (sous toutes ses formes)... bref... la violence et toutes les formes de maltraitance... Mes amis disent de moi que je suis juste et intègre, généreuse et drôle... Page:18 Quelques défauts : je peux m'entêter... et puis un brin de gourmandise aussi, sûrement beaucoup de naïveté !.. J'aime rire beaucoup et surtout de moi... ne pas me prendre trop au sérieux... mais quelquefois me prendre un peu la tête... En substance, je pourrais dire que j'aime la vie et les gens qui vont avec... que je pense souvent (à tord parfois et à mes dépends !) que les gens sont tous beaux... Ce n'est pas vrai ? Et j'apprends aussi... ... Pourquoi un blog ? ...comme cela, pour rien, pour rire, pour dire... me médire aussi... ça fait du bien ! Belles lectures... et surtout belle balade, sous mes soleils, mes jours de lune... » Marie.  Et voilà comment le prénom de Marie était revenu dans son existence à la façon d’ un boomerang …. Dans ses premières correspondances qu‘elle lui avait tout aussitôt inspirée, comme si elle fût devenue sa muse, il lui avait dit n’avoir jamais côtoyé de Marie , exceptée la mère du christ qu’il avait fréquenté le dimanche tandis qu'il était un enfant; mais voilà que ce prénom se prévalait d’une résonance toute particulière puis s’amplifiait au fil de ses évocations, comme un air entêtant déjà entendu dont on ne voudrait se souvenir …Et dont on sait obscurément qu’il se rattache à un page noire de votre vie. Il était bien quatre heures du matin , un autre jour allait venir. Depuis son nid d’aigle , l’homme assis devant son PC consultait encore sa messagerie usant et polarisant ses dernières forces lucides pour distinguer , entres toutes ces embarcations clapotantes sur sa rade, celle de bagatelle, inscrite dans le rôle tragique du petit chaperon rouge duquel il s’était mis en tête de la sortir ... Afin , selon son point de vue, qu’elle ne se fasse dévoré par le loup qu’elle appelait de toutes ses forces inconscientes en elle. Mais , entre toutes ses lignes , sur l’écran , il ne la distingua plus , il lui sembla bien qu’elle avait levé l‘ancre . Il se sentit anéanti .et pianota comme tirant désespérément sa dernière cartouche ce message qui fit feu.... ....Marie, J'ai peur du silence à tes doigts Pianotes- moi tes mots en ré, la ,sol ,si ,do j'ai tant besoin de toi ne t'en vas pas .... Puis se jeta sur sa couchette de matelot , prenant sa tête dans ses mains et sombra comme une masse ….dans sa nuit d’encre…. ...Tandis qu’à l’étage, depuis bien 45 minutes déjà , dans sa chambre située au-dessus de la remise , Melle Marthe la gouvernante s’était endormie du sommeil des justes tout aussitôt la grande porte coulissante de la remise fermée. Cependant dans son sommeil , de temps à autre ,elle semblait visitée et un sourire angélique et radieux parcourait son visage , on l'eût cru au paradis. Page:19. PS: Marie: cette connotation qui suit doit être gommée avant validation de ces pages sur ton blog. Dois-je poursuivre de publier ces pages sur ton blog ? 1/ Il se trouve que tout un chacun pourra les pirater . 2/ Aujourd’hui cela n’a pas d’importance , l’histoire n’étant qu’à ses premiers balbutiements , mais demain ? Qu’en sera-t-il? Je pense qu’il serait souhaitable de te les adresser personnellement, qu’en penses-tu? ou alors de poursuivre ainsi mais en y déposant une copie chez un notaire afin de les protéger sous le sceau de la propriété intellectuelle. 3/ Enfin me donnes-tu l’autorisation d’inclure ces extraits de tes propres textes que tu as pu lire et aussi tes courriels dans cet essai qui pourrait devenir un roman qui porterait pour titre par exemple : Une messe pour Marie. Je t’embrasse.
commentaire n° :8 posté par : MOR'AN le: 27/01/2008 à 11h02
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