les bagatelles de marie
Chatwin a dit :
" le vrai domicile de l'homme n'est pas une maison mais la route
et la vie elle-même est un voyage à faire à pied. "
A deux aussi peut-être ? -
Mar 18 mar 2008
3 commentaires
"Ma bohème
Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées ;
Mon paletot aussi devenait idéal ;
J'allais sous le ciel, Muse ! et j'étais ton féal ;
Oh ! là ! là ! que d'amours splendides j'ai rêvées !
Mon unique culotte avait un large trou.
- Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course
Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.
- Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou
Et je les écoutais, assis au bord des routes,
Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes
De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ;
Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,
Comme des lyres, je tirais les élastiques
De mes souliers blessés, un pied près de mon coeur !"
Arthur Rimbaud
Ð... - le 18/03/2008 à 15h37
Oh oui... merci Didier...
Un peu aussi un Didier de ma bohème... comme mon Olivier de bohème... comme une Marie de bohème...
Un peu aussi un Didier de ma bohème... comme mon Olivier de bohème... comme une Marie de bohème...
marie
the long and winding road that leads me to your home will neither desapear, i've seen that road before ...
AdonaÏ - le 19/03/2008 à 08h03
as anyone on earth...i suppose
marie
Mirwais entonnait ce qui suit à l'aube des années 80...
"D'une bande magnétique,
Un soupir lui échappe
Sur un écran géant,
Ses yeux se ferment.
Cherchez le garçon,
Trouvez son nom
Cherchez le garçon.
Réveil tragique succède,
Un sommeil sans rêve,
La forme de son corps
Ne veut rien dire pour moi."
jean-marc - le 19/03/2008 à 16h33